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lundi 20 avril 2015

La famille d'Amadou Koumé tué par la police à Paris doit faire son propre blog et organiser l'enquête elle-même. Comme la famille d'Abdoulaye Camara assassiné avec préméditation de 10 balles le 16 décembre 2014 au Havre

Amadou Koumé est mort, dans la nuit du 5 au 6 mars, alors qu’il venait d’être interpellé par la police à proximité de la gare du Nord.
Amadou Koumé
tué par la police
le 6 mars 2015
à Paris
par Yanick Toutain
L'Havrais Vérité
20/4/2015



Quand je lis ceci :
"Selon les premiers éléments de l'enquête,
Amadou a été interpellé le 6 mars à 0 h 5
alors qu'il tenait des propos incohérents.
« Il n'était manifestement pas bien,
détaille une source judiciaire."...
Cela m'évoque aussitôt l'assassinat
de Abdoulaye Camara au Havre
le 16 décembre dernier. 


Encore un Français ressemblant à un Africain assassiné dans un local de police !

" Au téléphone, on m'a dit qu'il avait été transporté couché dans le fourgon et qu'il était mort à 0 h 30. En découvrant l'acte d'état civil, j'apprends que son décès n'a été déclaré que deux heures plus tard."
Après Mohamed Rahji, assassiné au Havre le 7 août 2014 par des policiers non identifiés, après tous ceux qui sont morts en garde à vue, victimes de policiers rendus racistes par Hollande et Valls, après Chirac et Sarkozy, c'est maintenant Amadou Koumé qui a été assassiné le mois dernier. Mais le secret était le plus absolu. Jusqu'à ce matin et la publication de l'article du Parisien.


Paix et Liberté
d'Abdourahmane Camara
Contrairement à la presse torchon locale au Havre, le Parisien ne prend pas pour argent comptant les mensonges de la police. Ils vont même jusqu'à tenter d'enquêter.
La famille d'Amadou a été recontactée en milieu de semaine dernière par les enquêteurs.

Il a fallu, au Havre, attendre le 18 avril pour qu'un début de vérité apparaisse dans la presse papier torchon.
"Selon Abdourahmane Camara, Abdoulaye était menacé par la brigade canine depuis plus d'un an"
Mais Christophe Frebou de Paris-Normandie n'a pas demandé à rencontrer les témoins ni les témoins de l'agression sur la victime commise chez lui, deux heures avant son assassinat par les deux policiers.
Pour Amadou Koumé, Timothée Boutry du Parisien a mené un début de vraie enquête :


Paris : mort au commissariat

Les proches d'un père de famille de l'Aisne, décédé début mars après son interpellation musclée à Paris (Xe), réclament des explications qui tardent à venir.

Timothée Boutry | 20 Avril 2015, 07h13 | MAJ : 20 Avril 2015, 07h16




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Amadou Koumé est mort, dans la nuit du 5 au 6 mars, alors qu’il venait d’être interpellé par la police à proximité de la gare du Nord. (DR.)
Amadou Koumé avait 33 ans. Ce père de deux enfants, originaire de Saint-Quentin (Aisne), est mort dans la nuit du 5 au 6 mars dernier au commissariat du Xe arrondissement de Paris.


Cet intérimaire, venu chercher un emploi dans la capitale, avait été interpellé quelques heures plus tôt, à proximité d'un café du secteur de la gare du Nord. Ce décès dans une enceinte de police n'avait jusqu'ici jamais été ébruité.
On constate ici que la loi du silence digne de la mafia sicilienne est la loi de la police parisienne !

Dans un premier temps, le parquet de Paris avait ouvert une enquête préliminaire pour recherche des causes de la mort, avant de requalifier très rapidement les faits en homicide involontaire. L'enquête a été confiée à l'inspection générale de la police nationale (IGPN). Mais, depuis l'annonce de ce décès brutal, les proches d'Amadou Koumé vivent dans l'incompréhension et se sentent exclus de la procédure.
Homicide "involontaire" ?
Quand des racistes sont en face d'un Africain ou de quelqu'un leur ressemblant,l'intention de donner la mort n'a pas à être prouvée : le racisme est une folie meurtrière de facto !
Un policier raciste qui tue "involontairement" est une nouvelle hypocrisie de l'Etat voyou Franceàfric !
Quand un policier raciste tue, c'est qu'il est raciste et a le pouvoir de tuer.
"La semaine dernière, ils ont chargé leur avocat, Me Eddy Arneton, de déposer une plainte contre X pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner et abstention de porter assistance à une personne en péril. « Il faut qu'un juge d'instruction soit désigné pour conduire les investigations », assène Me Arneton.

Selon les premiers éléments de l'enquête, Amadou a été interpellé le 6 mars à 0 h 5 alors qu'il tenait des propos incohérents. « Il n'était manifestement pas bien, détaille une source judiciaire. Quand les policiers ont voulu le menotter, il s'est débattu. Ils ont dû procéder à une manœuvre d'étranglement pour lui passer les menottes. A l'arrivée au commissariat à 0 h 25, ils se sont rendu compte qu'il était amorphe. Le Samu a tenté de le ranimer, en vain. » Le décès d'Amadou a été officiellement constaté à 2 h 30."
Dans les deux heures qui se sont écoulées l'Etat voyou a tenté de fabriquer de fausses preuves. Pour camoufler le crime.
Dans le cas d'Abdoulaye Camara, c'est 4 mois qui se sont écoulées..... Les voyous n'ont pas encore fini de fabriquer leurs FAUSSES VIDEOS probantes !
"Pour ses proches, les circonstances doivent être éclaircies. « On ne sait pas comment il est mort, s'indigne Habi, sa grande soeur. Le matin de son décès, il a fallu que je passe trois appels à l'IGPN et que j'implore la personne au standard pour enfin obtenir des informations sommaires. Au téléphone, on m'a dit qu'il avait été transporté couché dans le fourgon et qu'il était mort à 0 h 30. En découvrant l'acte d'état civil, j'apprends que son décès n'a été déclaré que deux heures plus tard. Je me demande si on ne veut pas nous cacher quelque chose. » Lorsqu'ils se sont rendus à l'Institut médico-légal, plusieurs membres de la famille du jeune homme se sont aperçus qu'il présentait une plaie au visage."
PHOTOGRAPHIER LE CORPS, RELEVER SOI-MEME DES INDICES
Espérons que les familles ont eu la présence d'esprit de photographier la plaie au visage sur le corps sans vie d'Amadou Koumé.
Ils sont dans la situation d'Abdourahmane Camara contraint par des juges OMERTA de faire l'enquête lui-même !
"Les parents d'Amadou ont été reçus trois jours après le drame dans les locaux de l'IGPN. Depuis, malgré leurs courriers, les proches n'ont pas été informés des résultats de l'autopsie. Les demandes se sont, semble-t-il, perdues dans les méandres de la machine judiciaire. « Tant que je ne sais pas ce qui s'est passé, je suis incapable de faire mon deuil, s'emporte Jessica, la compagne d'Amadou et mère de leur garçon de 4 ans. J'imagine tous les scénarios possibles. C'est insoutenable. On a l'impression de ne compter pour rien. » La famille d'Amadou a été recontactée en milieu de semaine dernière par les enquêteurs."
On voit ici que l'enquête du Parisien a été faite sur plusieurs jours.
La direction générale de la police nationale n'a, elle, pas donné suite à nos appels.
Voici le commentaire que je viens de poster (il y a une heure) sous l'article du Parisien



Quand je lis ceci "Selon les premiers éléments de l'enquête, Amadou a été interpellé le 6 mars à 0 h 5 alors qu'il tenait des propos incohérents. « Il n'était manifestement pas bien, détaille une source judiciaire."...
Cela m'évoque aussitôt l'assassint de Abdoulaye Camara au Havre le 16 décembre dernier.
En l'absence de toute déclaration des 2 juges désignés, en l'absence d'enquête (personne ne les a vu au Havre) de l'IGPN, ce sont les frères et les amis de la victime qui FONT L'ENQUETE eux-même.
Le frère d'Abdoulaye, Abdourahmane Camara a créé un blog sur lequel se succèdent révélations sur révélations.
http://paixlibertelesarticlesdeapcamara.blogspot.fr/2015/02/abdoulaye-camara-fut-agresse-une-heure.html
Les 2 policiers qui ont assassiné Abdoulaye Camara le connaissaient très bien : Ils le menaçaient "On aura ta peau" depuis 1 an.
Les 2 policiers ont tiré 26 fois et l'ont tué de 10 balles après l'avoir suivi sur plusieurs centaines de mètres.
La victime, Abdoulaye, était sortie de chez lui après avoir été AGRESSé à domicile par 6 personnes (dont au moins une femme).
Deux témoins ont entendu l'agression.
+++
"J'ai été témoin des cris qu'il y a eu pendant qu'Abdoulaye était dans son appartement.
Il n'était pas tout seul. Mais avec plusieurs personnes.
Je ne sais pas combien.
J'ai aussi entendu des cris d'une fille."
+++++
Ce sont ses agresseurs qui lui ont infligé des blessures à l'arme blanche et ont saccagé son domicile.
Des jeunes ont entendu les agresseurs se "vanter" de leur agression par la suite dans le quartier.
Ces témoignages permettent de connaitre la vérité.
Par ailleurs, la vidéo "prouvant" la prétendue agression sur un passant n'a JAMAIS été transmise à l'avocat de la famille de la victime assassiné.
L'avocat a démandé il y près d'un mois la SAISIE des 11 CAMERAS
http://paixlibertelesarticlesdeapcamara.blogspot.fr/2015/03/lavocat-me-guillaume-routel-va-demander.html
au lieu de quoi, la police et le maire du Havre Edouard Philippe mettent la pression sur la famille : convocation illégale d'Abdourahmane
http://paixlibertelesarticlesdeapcamara.blogspot.fr/2015/04/meurtre-de-abdoulaye-camara-la-police.html
et 105 euros à payer pour le plus jeune frère Birama
http://paixlibertelesarticlesdeapcamara.blogspot.fr/2015/04/birama-frere-dabdoulaye-camara-prend.html
Mais cela a fini par pousser la presse locale à dire une partie de la vérité après des mois de mensonges où elle reprenait les mensonges du procureur Nachbar
http://paixlibertelesarticlesdeapcamara.blogspot.fr/2015/04/christophe-frebou-de-paris-normandie.html
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IL faut que la famille d'Amadou Koumé fasse son propre blog et enquête sur la vérité !

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