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mercredi 17 septembre 2014

A bord d'Ormée la Vérité, un nouveau blog sur Bordeaux. L'Edito Révolisation à Bordeaux : L'assemblée de l'Ormée du 21° siècle sera formée de délégués députés révocables

par Yanick Toutain
16/9/14

Après RevActu centré sur le processus à l'échelle internationale - incluant le mur AfRevActu consacré à l'Afrique, incluant Revolisation News (#RevoliNews)
 en anglais-, après L'Havrais Vérité destiné à braquer la vérité sur le 3° port esclavagiste français, Le Havre, après La Vérité Âpre Nantes pour les secrets du voisin esclavagiste de St Nazaire dont le maire Jean-Marc Ayrault vient de s'illustrer comme un fossoyeur de civilisation - c'est sous son règne que les coupeurs de mains du Mali furent les mieux protégés.....après le port esclavagiste, Nantes, c'est maintenant la ville du repris de justice organisateur du vol des caisses de la France pour son parti politique, Alain Juppé, c'est maintenant A Bord d'Ormée la vérité que la révolisation se prépare. Bonne lecture.


Révolisation à Bordeaux : L'assemblée de l'Ormée du 21° siècle sera formée de délégués députés révocables



Pendant les luttes de la Fronde entre la noblesse française et le roi, les bourgeois bordelais forment l'Assemblée de l'Ormée. Ce n'est qu'en 1653, que Bordeaux est soumise par les armes et que le jeune Louis XIV y fait une entrée solennelle.
  • Le parti de l'Ormée est un groupe d'opposants à la monarchie à Bordeaux dans les années 1650. Il s'appelle ainsi car ses partisans se réunissent dans un lieu planté d'ormes. (... ) 
    Certains de leurs pamphlets reprenaient les idées des Niveleurs anglais2. Une députation avait été envoyée en avril 1653 à Cromwell pour lui réclamer, vainement, son appui3.

Si Bordeaux est maintenant célèbre sur internet pour ses deux juges voyous, faussaires qui inventent de faux aveux en Cour d'Appel - les deux juges voyous Bernard Ors et Robert Miori
Si Bordeaux a acquis une célébrité méritée pour son avocate qui garde l'argent et ne se déplace pas en Cour d'Appel... pas seulement pour le prononcé... mais aussi pour le procès lui-même....

LUNDI 20 MAI 2013

.. malgré l'injonction de sa cliente...
Si Bordeaux est célèbre pour son port esclavagiste qui a vu partir les bateaux de la traite...
La révolution de 1789 ne modifia pas la fréquence des
départs de bateaux de la traite barbare esclavagiste
depuis Nantes, Le Havre et Bordeaux
Ils sont venus pour faire la traite
Acheter les hommes comme des bêtes
Royal Bourbon Massacre à fond
Boulevard Louis 16
Boulevard de la Mort

Pour les espoirs d'un changement
Les tractations durèrent 5 ans
Nantes et Bordeaux Gardent le gâteau
Boulevard des Girondins
Boulevard de la Mort

Le grand boucher des Colonies
1802 reprit nos vies
Seul Louverture Pour le futur
Boulevard Napoléon
Boulevard de la Mort
(Boulevards Africa Unité)
Wikipédia: Au même titre que NantesLa RochelleLorientMarseille et bien d'autres, elle devient en effet un centre négrier et permet à certaines grandes familles de négociants de s'enrichir grâce au commerce triangulaire. En 1571, le Parlement de Bordeaux s'était pourtant prononcé contre l'esclavage. Il existait une forte tradition humaniste à Bordeaux dont le plus célèbre représentant fut Montaigne. En 1548, Étienne de La Boétie, membre du Parlement de Bordeaux, avait rédigé un des premiers textes anti-esclavagistes européens, « Le discours de la servitude volontaire ». La traite des noirs, déjà initiée par les grandes compagnies portugaises ou anglaises notamment, va se développer peu à peu en France. La place privilégiée du port de Bordeaux va susciter la convoitise de riches familles de négociants qui vont vouloir s'enrichir grâce à la traite. Ainsi, nombreux vont être les aventuriers qui vont s'installer dans la ville de Bordeaux en ce sens. La plupart sont originaires du Portugal, d'Irlande ou de la région du Tarn. 
Plan de Bordeaux et de ses environs, par Hippolyte Matis (1716-1717)
Les plantations esclavagistes de la partie française de Saint-Domingue appartiennent aussi en grande partie à ces riches nouveaux Bordelais. Bordeaux se hisse ainsi, en 1743, au rang de cinquième port [réf. nécessaire]négrier français à égalité avec Le Havre. Il est encore bien loin - avec moins de cinquante navires depuis le début du siècle - du colosse nantais, qui expédie cette année-là son cinq centième navire vers les côtes guinéennes 

Si Bordeaux est célèbre pour son maire Alain Juppé repris de justice qui bénéficie de la grande compassion de ces juges voyous prompts à écrabouiller les résistants abolitionnistes !
Un repris de justice qui parraine un maire du Havre lui-même soutient du délinquant Jérôme Lavrilleux ! On est en bonne compagnie !
Quand une innocente est condamnée par des faux à payer 31000 euros, le coupable Juppé complice du coupable Chirac obtient un sursis...... scandaleux !

Affaires judiciaires[modifier | modifier le code]

Appartement de Laurent Juppé[modifier | modifier le code]
En juin 1995Le Canard enchaîné publie un document interne de la Ville de Paris, signé par Alain Juppé, donnant ordre à ses services de diminuer le loyer de son fils Laurent, logé dans un appartement relevant des propriétés de la ville de Parisrue Jacob. Il est locataire, à un prix défiant toute concurrence, d’un appartement de 189 m² dans la même rue, où sont réalisés des travaux pour plusieurs millions de francs aux frais des contribuables. Une plainte pour « prise illégale d’intérêts » est déposée par l’Association des contribuables parisiens, créée ad hocpar Arnaud Montebourg, à l’époque jeune avocat et adhérent du Parti socialiste.
Une information judiciaire est ouverte par le procureur de la République de Paris, Bruno Cotte, qui a considéré que le délit de « prise illégale d'intérêts » était établi. Il annonce cependant son intention de classer le dossier si Alain Juppé quitte son appartement. Le procureur général près la cour d'appel de Paris, Jean-François Burgelin, publie alors un communiqué, approuvé par le ministère de la Justice, affirmant que l’infraction n’était pas constituée et qu’elle était de toute façon prescrite. Cependant, la décision de classement impose à Alain Juppé de déménager.
Emplois fictifs de la Ville de Paris[modifier | modifier le code]
En 1999, Alain Juppé est mis en examen pour « abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale d’intérêt » pour des faits commis en tant que secrétaire général du Rassemblement pour la République et maire adjoint de Paris aux finances, de 1983 à 1995. Il est considéré comme un élément clé d’un système de financement occulte d’emplois au sein du RPR financés par la mairie de Paris et des entreprises désireuses de passer des contrats publics (sa secrétaire personnelle au RPR fut elle-même rémunérée par une entreprise, le groupe immobilier Ségur, puis par la ville de Paris).
Le 30 janvier 2004, il est condamné par le tribunal correctionnel de Nanterre à dix-huit mois de prison avec sursis dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris et à une peine de dix ans d’inéligibilité. Le tribunal juge notamment que :
« Alain Juppé dans la quête de moyens humains lui apparaissant nécessaires pour l’action du RPR a délibérément fait le choix d’une certaine efficacité en recourant à des arrangements illégaux […] Que la nature des faits commis est insupportable au corps social comme contraire à la volonté générale exprimée par la loi ; qu’agissant ainsi, Alain Juppé a, alors qu’il était investi d’un mandat électif public, trompé la confiance du peuple souverain. […] »
L’appel interjeté par Alain Juppé, immédiatement après sa condamnation, a pour effet de suspendre l’application de cette décision jusqu’à l’arrêt de la cour d'appel. Le 1er décembre 2004, celle-ci réduit la condamnation à quatorze mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité.
La cour d'appel formule quant à elle que :
«  Il est regrettable qu’au moment où le législateur prenait conscience de la nécessité de mettre fin à des pratiques délictueuses qui existaient à l’occasion du financement des partis politiques, M. Juppé n’ait pas appliqué à son propre parti les règles qu’il avait votées au parlement. Il est également regrettable que M. Juppé, dont les qualités intellectuelles sont unanimement reconnues, n’ait pas cru devoir assumer devant la justice l’ensemble de ses responsabilités pénales et ait maintenu la négation de faits avérés. Toutefois, M. Juppé s’est consacré pendant de nombreuses années au service de l’État, n’a tiré aucun enrichissement personnel de ces infractions commises au bénéfice de l’ensemble des membres de son parti, dont il ne doit pas être le bouc émissaire.  »
Il démissionne le lendemain de son dernier mandat, celui de maire de Bordeaux. Nombre de commentateurs estiment alors qu'« Alain Juppé paye pour Jacques Chirac » et que, bien que l'ancien Premier ministre soit condamné pénalement, la justice a reconnu Jacques Chirac comme responsable moralement21.
Mais Bordeaux ce n'est pas seulement ce ramassis de voyous héritiers d'une tradition de voyous esclavagistes.... c'est aussi la République de l'Ormée !
Citons Larousse
Ormée (révolte de l'),
épisode révolutionnaire apparu au sein de la Fronde bordelaise (1651-1653).
L'Ormée est un mouvement radical qui émerge au milieu des luttes de factions dont Bordeaux est le théâtre dans les années 1649-1651, et qui tient son nom d'une place ombragée où des membres du « menu peuple » avaient pris l'habitude de se rassembler. Issus de la petite et moyenne bourgeoisie des métiers et des offices, les ormistes s'organisent en confrérie, se dotant d'un symbole (une cocarde de paille) et d'une devise (Vox populi, vox Dei). Dans leurs programmes (« Manifeste des Bourdelois », « Articles de l'Union »), ils formulent des revendications d'inspiration démocratique et égalitaire, où l'on reconnaît parfois l'influence des « niveleurs » anglais (faction radicale apparue au cours de la révolution anglaise de 1649). Invoquant les « antiques libertés » bordelaises, ils dénoncent tout à la fois la tyrannie fiscale du pouvoir central et la confiscation du pouvoir local par l'oligarchie marchande et parlementaire. Lorsque le parlement de Bordeaux, inquiet de la radicalisation du mouvement, veut interdire les assemblées, les ormistes s'emparent du pouvoir municipal, avec la complicité des agents de Condé (juin 1652). L'Ormée tente alors d'instaurer un nouveau type de pouvoir urbain reposant sur une assemblée de cinq cents personnes, un « conseil des trente », périodiquement renouvelable, et une milice. Face au blocus de la ville par les troupes royales, elle impose des mesures de « salut public » dont sont victimes les notables, suspectés de pactiser avec Mazarin. Mais, paradoxalement, l'Ormée tire sa force de l'appui, non dénué d'intentions manipulatrices, de Condé. Aussi, lorsque dans l'été 1653 ce dernier se rapproche de la cour, le sort de l'Ormée est-il scellé : les assemblées sont interdites, et Dureteste, son chef, est exécuté, mettant un terme à cette expérience de « république urbaine ».
BIENTÔT UNE NOUVELLE ASSEMBLEE DE L'ORMEE
Ce qui se prépare à Bordeaux, c'est la mise au gnouf de cette voyoucratie esclavagiste !
Bientôt convergeront les délégués révolisationnaires qui recréeront une nouvelle Assemblée de l'Ormée
Aux cris de Hollande DEGAGE, Juppé DEGAGE ! Valls DEGAGE ! Sarkozy NE REVIENT PLUS !
Qatar DEGAGE ! Princes Saoudiens DEGAGENT et JUGES VOYOUS EN CABANE !
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