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mercredi 30 juillet 2014

Patrick Deplanque porte plainte contre la témoin des violences. Un inspecteur de l'Education Nationale protège trois agresseurs d'enfants et terrorise les témoins avec l'aide de la police havraise.

Après les 14 enseignants menteurs de l'école Valmy
devenus les marionnettes de Patrick Deplanque
(14 faux témoins du dossier de l'accusation)
ce sont maintenant 3 policiers de la BAC plus 2 OPJ
qu'il vient de marionnettiser à leur tour afin de protéger
(au moins) 3 enseignants agresseurs d'enfants sous
l'égide du procureur agresseur Francis Nachbar

"Julie Amadis, au mois de janvier 2008,
avait vu une employée municipale soulever de terre
un petit enfant de trois ans dans les WC
de l'école maternelle Varlin au Havre.
Et lui donner une claque très violente sur les fesses.
Ce petit de trois ans venait de jouer
avec un robinet des WC
de l'école maternelle Varlin.
Ayant mis la main dans le filet d'eau,
celle-ci avait un peu giclé sur le sol.
C'est pour quelques gouttes d'eau sur le sol
qu'un enfant a été battu et
qu'un complot dure depuis 7 ans
."
 ""par exemple Luciano, ça m'est déjà arrivé
de lui mettre une fessée et
 je n'ai pas pour autant culpabilisé
car à ce moment là,
 il y a que comme ça qu'il pouvait comprendre"".
 (Véronique Combret janvier 2008


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mardi 29 juillet 2014


Avoir construit un complot depuis septembre 2013 dans le but de persécuter et faire exclure deux ans une institutrice témoin de violences en 2008 n'est pas suffisant pour Patrick Deplanque. Il lui faut maintenant faire taire sa victime :
Cet inspecteur de l'Education Nationale (officiellement marionnettiste amateur et maire de Bénarville) a ajouté un étage supplémentaire dans la répression : une plainte contre Julie Amadis.
Une plainte en diffamation pour un simple commentaire sur Youtube.
Ce commentaire avait été déposé par Julie Amadis peu après sa suspension du 28 mars sous la chanson de 2008 « La Brute soutient la Brute ».
Cette chanson écrite par l'auteur de ce blog , il y a 6 ans, racontait de quelle façon l'inspecteur Patrick Deplanque organisait la terreur contre les témoins d'agressions d'enfants.

Sur la demande du procureur Francis Nachbar, Julie Amadis a été enlevée en pleine ville hier après-midi. Au service d'un responsable de l’Éducation Nationale qui protège trois agresseurs d'enfants. (Trois agresseurs identifiés mais certainement plusieurs autres dizaines tout au long de sa longue carrière)
Rien d'étonnant à cet enlèvement d'une témoin de violences : ce procureur a été l'objet d'un signalement du procureur du Roi belge comme étant lui-même un agresseur. (Le procureur général de Reims avait classé ce signalement)
" un policier belge a été choqué par les méthodes Nachbar lors de l'interrogatoire de Monique Olivier, l'épouse de Michel Fourniret. Il s'en était du reste ouvert à Cédric Visart de Bocarme, procureur du Roi, lequel avait transmis ses doléances à fin de poursuites à Yves Charpenel, procureur général de Reims qui s'empressa d'enterrer le dossier. Des baffes derrière la tête qui n'ont eu pour effet que de charger Fourniret d'un crime qu'il n'a pas commis et dont l'auteur court toujours.Cédric Visart de Bocarme, procureur du Roi, lequel avait transmis ses doléances à fin de poursuites à Yves Charpenel, procureur général de Reims qui s'empressa d'enterrer le dossier" (sic Christian Chardon ) (Lire l'article : Le procureur qui donne des claques)
Julie Amadis était tranquillement installée à travailler devant son ordinateur devant un café dans un bar de Saint Adresse, le Week-end, elle s'est vue menacée de violences pour le cas où elle ne suivrait pas docilement trois policiers de la brigade anti-criminalité.
On a vu ailleurs l'illégalité totale de cette interpellation.(Arrêtée dans un café pour.... un commentaire sur YouTube (Une plainte de Patrick Deplanque OMERTA76)
L'auteur de ce blog était présent (et l'objet lui aussi d'une arrestation par la BAC du Havre). J'ai même été empêché de poster un simple message Facebook pour écrire « Je suis interpellé ».

UN HARCELEMENT PROFESSIONNEL,
POLICIER ET JUDICIAIRE

Julie Amadis est la victime d'un harcèlement professionnel et maintenant judiciaire d'un sinistre personnage ami d'agresseurs d'enfants et profitant de son statut pour persécuter les témoins de violences.
Cela fait 6 ans et demi que l'inspecteur Deplanque persécute l'assistante pédagogique devenue institutrice (professeur des écoles) pour son témoignage de 2008.
Julie Amadis, au mois de janvier 2008, avait vu une ATSEM employée municipale de Antoine Rufenacht (Françoise X) soulever de terre un petit enfant de trois ans dans les WC de l'école maternelle Varlin au Havre. Et lui donner une claque très violente sur les fesses.
Ce petit de trois ans venait de jouer avec un robinet des WC de l'école maternelle Varlin. Ayant mis la main dans le filet d'eau, celle-ci avait un peu giclé sur le sol.

C'est pour quelques gouttes d'eau sur le sol
qu'un enfant a été battu et
qu'un complot dure depuis 7 ans.

Après avoir hésité à signaler cela, elle avait pris conseil de l'infirmière scolaire et de l'assistante sociale. Celles-ci l'incitèrent à prévenir la directrice de l'école maternelle – une protégée de l'inspecteur Deplanque. Mais Julie Amadis ignorait jusqu'où irait la bande.

Cette directrice – Véronique Combret – la prit de haut en ajoutant
 ""par exemple Luciano, ça m'est déjà arrivé de lui mettre une fessée et je n'ai pas pour autant culpabilisé car à ce moment là, il y a que comme ça qu'il pouvait comprendre"".
Le lecteur pourra lire les détails de cette affaire commencée en janvier 2008 dans la lettre au Recteur de Seine-Maritime.

JEUDI 19 JUIN 2008

Objet :
Affaire de fessées dénoncées (faits étouffés)

MARDI 24 JUIN 2008

Objet :
- Refus de prendre un coup de compas dans le dos
- Droit de retrait
en PS : 3° cas de violences physiques

Un recteur qui n'avait jamais pris le temps de répondre. Et qui – semble-t-il aurait fait disparaître le courrier du dossier professionnel de Julie Amadis qui ne l'y a pas trouvé en juin 2014.
Mais un recteur qui, en novembre 2008, n'osa pas refuser l'agrément à Julie Amadis quand l'enseignement privé catholique proposa à la chômeuse ex-assistante pédagogique une promotion : institutrice suppléante dans une classe de cours préparatoire.
Le même lecteur pourra lire la suite dans le courrier qu'en novembre 2013 – 5 ans plus tard – Julie Amadis adressa à la rectrice de Seine-Maritime Claudine Schmidt-Lainé.<
>

LE COURRIER DE JULIE AMADIS A LA RECTRICE SCHMIDT-LAINE

Elle informait sa supérieure et demandait protection :
Le fait que cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc. (...) Le fait, enfin, que l'information que je faisais auprès de parents de mes élèves des années précédentes concernant les maltraitances dans l’Éducation Nationale m'a fait découvrir avant-hier un quatrième cas de violences à enfants du primaire au Havre.

(...)
Dans la mesure où mon témoignage de 2008 n'avait été pris au sérieux et que l'on avait fini par me traiter de "menteuse" (cf la déclaration qui m'avait été lue par le policier) , je ne peux prendre le risque que ce même inspecteur mentent concernant son observation de la classe, c'est pour cette raison que je refuse qu'il entre dans ma classe. J'ai déjà été visitée dans le passé mais pas par quelqu'un qui
1° m'a traité de menteuse
2° a orchestré le harcèlement subi et mon renvoi (non renouvellement de contrat)
3° vient "régler des comptes" 5 ans plus tard en commençant une campagne à mon encontre à peine il prend ses nouvelles fonctions.
La terreur qui règne contre les témoins fait que, dans les 3 cas qui m'ont été rapportés, ceux qui ont vu ces violences ne veulent pas témoigner.
Ils sont confortés dans leurs crainte par la perte de mon emploi d'assistante pédagogique en 2008 avec l'indifférence totale de votre prédécesseur, de l'Inspecteur d'Académie en résidence au Havre (qui, à l'époque, avait annoncé qu'il allait me convoquer), du maire du Havre que j'avais rencontré à l'époque et qui ne fit absolument rien contre les auteurs de violences ni en faveur de celle qui témoignait).
(...)Par ailleurs, j'ai appris que des conseillers pédagogiques en réunion de circonscription de rentrée avaient entendu l'IEN Deplanque mener campagne contre moi en leur donnant une information diffamatoire à mon encontre.
En réitérant mon annonce de refus d'inspection, je vous prie, madame de prendre enfin , au moins pour le Havre, les mesures urgentes en vue de protéger les enfants et les témoins. Que les témoins soient fonctionnaires ou auxiliaires.
Je peux vous affirmer que les témoins sont tellement terrorisés que même l'annonce d'une enquête officielle de votre part qui ne leur garantirait pas leur emploi serait insuffisante à reconstituer leur confiance en la légalité du fonctionnement interne à l'institution.
(...)
Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves.
Il est insupportable de travailler pour des enfants avec la possibilité à tout moment de voir arriver dans ma classe un harceleur menaçant ironiquement de me faire une nouvelle fois chasser de l’Éducation Nationale.
Dans l'attente d'une réaction active de votre part en faveur des enfants ayant été battus au sein de l’Éducation Nationale au Havre depuis 2008 et d'une intervention protégeant mon statut et mes conditions de travail, veillez, Madame la Rectrice, recevoir l'expression de mes salutations respectueuses.

En effet, le protecteur de Véronique Combret en 2008 était parti se faire oublier en Russie sous la protection du ministre des Affaires Etrangères.
Le voici qui revient, en septembre 2013 pour organiser un complot avec ses amis (de 20 ans), Patrick Clabaut (directeur d'école) et Léon Launay (instituteur, professeur des écoles et agresseur d'enfants..... depuis 1993 selon un témoignage. Il pratiquait même les « coups de corde à sauter » contre des élèves filles. Une autre de ses victimes témoignait de cela récemment).
Les trois comparses commençèrent dès le jour de la pré-rentrée le harcèlement. Cette date est confirmée par un témoignage du dossier d'accusation contruit contre Julie Amadis.
Le but de l'opération – qui recruté un syndicaliste extérieur à l'école – était de contraindre la victime du harcèlement à s'excuser auprès de l'inspecteur Deplanque.
Celui était venu le 26 septembre 2013 se moquer de sa subalterne en lui annonçant une année entière de persécution.
Le lecteur trouvera tout au long des articles de L'Havrais Vérité le détailde ce complot machiavélique.

UN PROCUREUR PREND PRETEXTE DE LA PLAINTE DEPLANQUE POUR ORGANISER L'ARRESTATION PUBLIQUE DE JULIE AMADIS

Le procureur Nachbar, lundi 28 juillet lança dont la Brigade Anti Criminalité aux trousses de l'institutrice anti-violences ! Il fallait qu'elle soit humiliée en public ! Il fallait un signe fort montrant qu'au Havre ce ne sont pas les anti-violences qui font la loi.... mais que les agresseurs d'enfants bénéficient de la protection bienveillante du procureur Nachbar !
Ce qui fut fait !

MAIS JULIE AMADIS PARVIENT A FAIRE AVOUER
 AU POLICIER LE NOM DE L'AUTEUR DE LA PLAINTE
LUI VALANT CETTE ARRESTATION EN PUBLIC

Le policier ne voulait pas lui donner le nom de l'auteur de la plainte ni le texte qui lui valait ces poursuites.
C'est au cours de son audition qu'elle exigea de connaître le motif de son arrestation et donc le nom du ou des plaignants qui lui valait cette interpellation dans un café par une brigade anti-criminalité.
C'est ainsi qu'elle appris qu'il s'agissait de

 "diffamation envers personne chargée de mission de service public par moyen de communication par voie électronique entre le 1° avril et le 27 juin 2014 au Havre"
L'absurdité apparent de la plage de date pour un simple commentaire YouTube trouvera son explication dans un autre article qui sera publié demain. Il s'agit bel et bien d'un complot et la non mention d'une date de publication du commentaire a pour origine le fait d'impliquer Julie Amadis dans d'autres plaintes - celles concernant mes propres articles. Une ruse piteuse !

UN NOM DE PLAIGNANT SECRET ?

Pendant plusieurs minutes, le fonctionnaire refusa à Julie Amadis de lui donner le nom du plaignant.
Ce n'est qu'à force d'argumenter en arguant qu'en 2008, le policier qui l'avait interrogée lui avait lu le contenu de la plainte déposée par Véronique Combret et Carole Hervieu qu'elle obtint finalement le nom de son persécuteur :
C'était donc bel et bien l'inspecteur Patrick Deplanque qui était à l'origine de l'arrestation de Julie Amadis en public.
Cette annonce fut faite avant-hier 28 juillet à l'hôtel de police par le brigadier-chef Scach.

COMPLEMENT
Côté pile : un sympathique marionnettiste soucieux de présenter une image médiatiquement positif. Côté face, un persécuteur acharné contre les jeunes enseignantes et un manipulateur pervers se donnant comme tâche prioritaire la protection des enseignants agresseurs d'enfants dans les écoles. Avec des méthodes insidieuses allant jusqu'à l'arrestation en public de ses victimes professionnelles par la Brigade Anti Criminalité*

PARIS-NORMANDIE, AU SERVICE DES INSTITUTIONS FAIT LE SILENCE SUR LES AGRESSIONS D'ENFANTS QUE CE SINISTRE PERSONNAGE COUVRE DEPUIS (AU MOINS) SIX ANS









Publié le 30/10/2013 á 08H00
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Quand la protégée de l'inspecteur Deplanque avait vu son (abusive) plainte en diffamation être classée sans suite, Paris Normandie n'avait, évidemment, pas donné l'information au public.
Alors même que ce classement sans suite et sans nouvelles poursuites contre la chanson "La Brute Soutient la Brute" validait la réalité des coups portés par l'ATSEM protégée par l'inspecteur Deplanque et la réalité des propos tenus par la directrice de maternelle Véronique Combret qui revendiquait son droit d'agresser régulièrement un enfant de quatre ans.

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