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lundi 23 juin 2014

« Tu lâches ton bâton et tu rentres » un enfant désobéissant écoutant sa maîtresse devant la grille de l'école Valmy devient l'occasion de propos mensongers et calomnieux de Valérie Debray selon les dénonciations de Delphine Dufau à l'enquêtrice OMERTA76 Monique Béaur.

C'est en revenant de préparer ces travaux qu'un des élèves
avait déclenché un petit incident sur le parvis de l'école
Valmy en refusant de lâcher une petite branche d'arbre.
Cela va devenir une dénonciation par Delphine Dufau
Une dénonciation figurant dans l'acte d'accusation
contre Julie Amadis  (L'enseignante harcelée depuis
septembre 2013 se trouve à droite sur cette photo
 dont l'auteur n'est pas donné)
Dénoncer ses collègues à l'administration en mentant !
Pratique courante dans cette école Valmy du Havre !
On connait maintenant les noms de ceux qui sèment la pagaille dans cette école depuis la rentrée de septembre 2013



Par Yanick Toutain

« De deux choses l'une :
1° ou bien l'enquêtrice partiale
n'a pas posé de question sur cette
prétendue faute professionnelle......
ce qui serait tout bonnement ahurissant....
2° Ou bien Monique Béaur a demandé à Valérie Debray
si les faits reprochés à Julie Amadis se sont bien
déroulés comme l'a « témoigné » Delphine Dufau et,
mécontente d'apprendre la vérité,
aurait purement et simplement
fait disparaître des « témoignages »
et la question ,
et la réponse. »
(dans la conclusion de cet article)

Le dossier d'accusation Carrière-Béaur VS Amadis est un sommet de diffamation et d'accusations mensongères.

QUI A MENTI EN INVENTANT UN
« ENFANT LAISSE VOLONTAIREMENT
 TOUT SEUL SUR LE TROTTOIR » ?

La prétendue enquêtrice partiale Monique Béaur fait les égouts !

Elle n'a aucune limite dans les dénonciations !
En consultant le dossier d'accusation contre Julie Amadis on voit qu'aucune morale, aucune éthique, aucune limite n'a été donnée à ces gens-là !
Truquer des faits anodins pour construire une incrimination afin de satisfaire au projet de OMERTA76 !

MAIS CES ACCUSATIONS DÉLIRANTES N'ONT PAS ÉTÉ L'OBJET D'ENQUÊTE SÉRIEUSE ET
 NE FIGURENT MÊME PAS DANS L'ACTE D'ACCUSATION

C'est ce que le lecteur va découvrir ici :

CONTEXTE : une classe d'élèves de 7-8 ans (CE1) est allée à 150 mètres de l'école au centre d'animation culturelle du quartier (Le satellite Brindeau – le travail des enfants sera l'objet d'un reportage dans le journal local qui sera fait 2 jours plus tard, le jeudi 27 mars.)
C'est la fin de l'après-midi, on est le mardi 25 mars, il est environ 15h20, le rang d'une vingtaine d'enfants avance sagement vers son école. Ils sont accompagnés et surveillés par deux adultes l'institutrice Julie Amadis et une auxiliaire EVS (Mlle X) ......
A plus de 15 mètres de la rue, un enfant va avoir un comportement (anodin) en désobéissant pendant moins de trois minutes. Un incident mineur auquel personne ne prête attention dans une école..... normale....

Mais cela va devenir l'occasion de propos diffamatoires, de dénonciation calomnieuse (et d'élucubrations délirantes) pour les enseignantes Valérie Debray et Delphine Dufau

CONSTRUCTION IMAGINAIRE D'UNE FAUTE PROFESSIONNELLE

Une suspension basée sur des ragots
des mensonges et des dénonciations
calomnieuses recueillies par une
enquêtrice OMERTA76 partiale
 Monique Béaur
Le rang arrive sur le parvis de l'école, près de la grille (plus de 15 mètres entre la grille de l'école et le trottoir)
La maîtresse ouvre la grille de l'école (fermée à clé), elle entre dans la cour avec son rang. Elle se retourne et voit, à la fin de son rang, un enfant qui a ramassé un petit morceau de branche d'arbre.
Elle lui dit « Tu lâches ton bâton et tu entres »
A ce moment, l'enfant turbulent s'arrête, lève le bras en exhibant le bâton (il est toujours de l'autre côté de la grille.....)
Sa maîtresse le sermonne en l'appelant par son prénom.
Pendant ce temps, le reste de la classe est en récréation ….
L'enseignante Julie Amadis est toujours à côté de la grille et continue à sermonner l'enfant. Elle a remarqué que sa collègue Valérie Debray est en train de l'observer. Celle-ci est avec son rang mais observe la scène plutôt que d'entrer dans sa classe.
Après quelques instants, l'enfant pose son bout de branche mais ne franchit toujours pas la grille.
Quelques secondes plus tard, il entre dans la cour, et l'institutrice l'a puni momentanément pour une partie de la récréation (Cette enseignante refuse de priver les enfants de la totalité de leur récréation comme le font trop de ses collègues)

VERSION DIFFAMATRICE RELATÉE PAR LA DÉNONCIATRICE DUFAU


Voilà maintenant la version diffamatrice que sa collègue Delphine Dufau va rapporter à l'administration (ce n'est qu'un de ses mensonges. Les autres mensonges de D. Dufau seront l'objet d'autres articles)


« Mme Debray a vu un enfant tout seul sur le trottoir qu'elle n'arrivait pas à gérer, et qu'elle avait laissé volontairement tout seul alors qu'elle rentrait avec sa classe. »


Mensonge au sujet du « trottoir » (l'enfant était à plus de 15 mètres de la rue, sur le parvis de l'école)
Mensonge sur le fait de l'avoir laissé « seul » (l'enseignante n'a jamais été à plus de 1,5 mètres de l'enfant)
Mensonge sur le fait de ne pas avoir réussi à « gérer » l'enfant (des enfants désobéissants pendant moins de trois minutes ne seraient pas la preuve que la totalité des enseignants de France et de Navarre n' « arriveraient pas à gérer » leurs élèves.

POURQUOI TANT DE MÉCHANCETÉ ?

Le reportage du Havre Libre/Havre Presse/Paris Normandie fait le jeudi suivant aura certainement suscité des rancœurs parmi des jalouses médiocres !
L'enseignante - Julie Amadis - fut la première surprise de voir arriver un journaliste le jeudi suivant et n'avait strictement rien fait pour convoquer la presse !
Mais il fallait bien continuer à lui nuire !
Minimiser le travail de Julie Amadis au centre culturel du quartier a du être un des facteurs pour inciter la menteuse Debray à fabriquer ce faux témoignage.
Un faux témoignage dont on peut exclure qu'il soit une invention méchante de sa collègue Dufau. Pour quelle raison Delphine Dufau inventerait-elle des dénonciations calomnieuses proférées par Valérie Debray.

AUCUNE ENQUÊTE SÉRIEUSE DE MONIQUE BEAUR

Il aurait été logique, face à une telle faute professionnelle que l'enquêtrice enquête..... mais non !
Dans le témoignage de la « témoin » Valérie Debray n’apparaît strictement aucune mention de ce prétendu « incident » grave....
De deux choses l'une : ou bien l'enquêtrice partiale n'a pas posé de question sur cette prétendue faute professionnelle...... ce qui serait tout bonnement ahurissant....
Ou bien Monique Béaur a demandé à Valérie Debray si les faits reprochés à Julie Amadis se sont bien déroulés comme l'a « témoigné » Delphine Dufau et, mécontente d'apprendre la vérité, aurait purement et simplement fait disparaître des « témoignages » et la question , et la réponse.

UNE ENQUÊTE DONT UN GOUVERNEMENT HONNÊTE
 METTRA A JOUR TOUTES LES CONTRADICTIONS
APRES LA REVOLUTION CONTRE LES VOYOUS
 ET LES MENTEURS OMERTA76

Comme la France révolutionnaire aura bientôt des gens honnêtes à sa tête, il sera très facile de questionner Valérie Debray et de lui demander
« Qu'est-ce que Monique Béaur vous a posé comme question concernant ce prétendu enfant laissé « volontairement tout seul sur le trottoir » ?

On aura donc la réponse (éventuelle) de la diffamatrice – selon le témoignage Dufau.

On remarquera, que le témoignage de celle contient – sur d'autres sujets que celui-là – d'autres dénonciations calomnieuses, d'autres mensonges......

Tout cela sera l'objet d'autres articles.....





COMPLEMENT :

On comprendra que l'enfant turbulant avait été un peu agité après la 1° séance de travaux.
Un incident minime comme il s'en produit tous les jours dans toutes les écoles de France.
On peut lire l'article sur les travaux d'élèves sur le site de Paris Normandie.
On notera que ce journal garde un silence total sur les persécutions judiciaires contre Julie Amadis. Y compris sa victoire au Havre dans le 5° procès contre le bourreau du président Gabgbo de Côte d'Ivoire, l'ex chef de la police ONUCI qui avait participé au putsch pour le renverser au profit du tyran FMI Ouattara, le Pinochet de l'Afrique

C'est en revenant de préparer ces travaux qu'un des élèves
avait déclenché un petit incident sur le parvis de l'école
Valmy en refusant de lâcher une petite branche d'arbre.
Cela va devenir une dénonciation par Delphine Dufau
Une dénonciation figurant dans l'acte d'accusation
contre Julie Amadis  (L'enseignante harcelée depuis
septembre 2013 se trouve à droite sur cette photo
 dont l'auteur n'est pas donné)



Publié le 01/04/2014 á 06H00
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Art plastique. Le Satellite Brindeau a proposé aux élèves de l’école Valmy de réaliser des dessins et de les accrocher dans la rue.

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