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mardi 20 mai 2014

Sont-elles complices de l'agresseur ? La gaffe des 3 mères OMERTA76 : "Ça va pas d'accuser mr XXX comme ça !" (Elles citent le nom de l'agresseur de Valmy qui n'est pas encore publié en ligne)

Elles se positionnent en défense de celui qui tape 3 enfants depuis la rentrée !
Ce sont des parents pro-OMERTA76 qui ont fait la gaffe : ils savent le nom de l'enseignant qui agresse violemment les enfants du quartier de l'Eure depuis 20 ans !
Et tentent de le protéger !!!

Ils ont dit son nom.... mr XXX
"Ça va pas d'accuser mr XXX comme ça !"

Or, le lecteur aura beau chercher..... le nom de l'agresseur n'a été donné dans aucun article....
Il n'a même pas été indiqué si c'était un homme ou une femme.... dans un "enseignant" générique....

LES 3 MÈRES PRO-OMERTA76
CONNAISSENT LE NOM DE L'AGRESSEUR XXX

A la sortie de l'école, ce mardi, ces parents délétères - au milieu d'une kyrielle d'accusations dolosives - accusaient la déléguée élue - qui soutient Julie Amadis la témoin des violences 2008 - d'avoir révélé le nom ..... mais, en le donnant eux-mêmes.... ils ont donné la preuve qu'ils connaissaient très bien ce nom !!!
Défendre un enseignant accusé d'agressions par des multiples témoins est un comportement scandaleux !

Et si ces parents connaissent ce nom, cela est une preuve de plus que la directrice Brigitte Boniou de Valmy 2 savait déjà pour quelle raison l'inspecteur Deplanque était venu harceler préventivement Julie Amadis !
Cela confirme les témoignages recueillies par la déléguée élue Séverine Breton: des parents demandent expressément à ce que leurs enfants n'aillent pas dans la classe de mr XXX.... depuis des années....(Un des témoignages mentionne même qu'une des institutrices de Valmy connaissaient elle-même plusieurs demandes à ne pas envoyer d'enfants chez mr XXX)

LA DIRECTRICE BRIGITTE BONIOU
 PROTÈGE SON ADJOINT XXX 
UN INSTITUTEUR AGRESSEUR D'ENFANTS ... DEPUIS 20 ANS


Si cette directrice a laissé l'inspecteur Deplanque menacer Julie Amadis pendant son temps de classe c'est à coup sur parce qu'elle protégeait depuis des années "son" agresseur.
Cette directrice agissait ainsi préventivement pour faire taire celle qui avait eu le courage en 2008 de dénoncer les violences à enfants dans une école maternelle.
Sur Valmy les enseignants agresseurs d'enfants du Havre ne sont pas seulement soutenus par leurs collègues de l'école Valmy. Par le directeur Patrick Clabaut et par la directrice Brigitte Boniou.

LE TANDEM CLABAUT-BONIOU 
POUR PROTÉGER UN AGRESSEUR D'ENFANTS


Le premier avait commencé l'année en envoyant à Julie Amadis un "ami à lui" syndicaliste Jean-Denis Leuk qui avait conseillé à la victime du harcèlement de s'excuser auprès de son harceleur....
La seconde avait été témoin d'une scène hallucinante : un inspecteur Deplanque -"ami de 20 ans" de l'enseignant agresseur qui venait harceler une enseignante sur le temps de classe, devant ses élèves...
C'est le contenu du courrier à la rectrice de Rouen Claudine Schmidt-Lainé qui lui valut un "avertissement"

LE COURRIER DE JULIE AMADIS A LA RECTRICE SCHMIDT-LAINE (extraits)

"- Le fait que cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc." 
(...) Dans la mesure où mon témoignage de 2008 n'avait été pris au sérieux et que l'on avait fini par me traiter de "menteuse" (cf la déclaration qui m'avait été lue par le policier) , je ne peux prendre le risque que ce même inspecteur mentent concernant son observation de la classe, c'est pour cette raison que je refuse qu'il entre dans ma classe. J'ai déjà été visitée dans le passé mais pas par quelqu'un qui
1° m'a traité de menteuse2° a orchestré le harcèlement subi et mon renvoi (non renouvellement de contrat)3° vient "régler des comptes" 5 ans plus tard en commençant une campagne à mon encontre à peine il prend ses nouvelles fonctions.La terreur qui règne contre les témoins fait que, dans les 3 cas qui m'ont été rapportés, ceux qui ont vu ces violences ne veulent pas témoigner.Ils sont confortés dans leurs crainte par la perte de mon emploi d'assistante pédagogique en 2008 avec l'indifférence totale de votre prédécesseur, de l'Inspecteur d'Académie en résidence au Havre (qui, à l'époque, avait annoncé qu'il allait me convoquer), du maire du Havre que j'avais rencontré à l'époque et qui ne fit absolument rien contre les auteurs de violences ni en faveur de celle qui témoignait).Tout cela eut comme résultat, outre la perte de mon emploi par non renouvellement de contrat, une tentative de condamnation par la justice de celle qui avait témoigné et du blogueur qui me soutenait.Une justice qui "oublia" d'enquêter sur les faits de violences.... et qui dû néanmoins classer cette plainte contre moi.

LES PARENTS OMERTA76 SONT LES COMPLICES
 DES ENSEIGNANTS AGRESSEURS !
ILS SERONT JUGÉS COMME TELS

L'enseignant - connu des 3 mères d'élèves de ce soir - peut continuer à terroriser ses élèves (les 3 qui se sont fait taper et les autres.... victimes d'un "lavage de cerveau" selon les mots d'une mère d'élève samedi dernier).... il bénéficie du soutien des parents OMERTA76 !
Celles-là ne semblent pas se rendre compte que leur campagne de protection de l'enseignant agresseur - dont elles connaissent le nom - les transforme, aux yeux d'une vraie justice - en COMPLICES 


COMPLÉMENT

Dans la lettre de Julie Amadis à la rectrice (lettre qui lui valu un avertissement puis une inspection mensongère et truquée) le mot "oublia" concernant l'attitude de la justice n'est pas une litote comme sembla le considérer l'adjointe OMERTA76 Monique Béaur.... La réalité de ce qui s'est réellement passé est masquée dans le courrier... La police n'a pas "oublié" d'enquêter. Le policier (Capitaine "Maelle" ?) m'avait dit, en réponse à ma question "Vous enquêtez sur les faits de violences commis dans l'école" me répondit "Y a pire à Caucriauville"
On serait bien plus proche de l'euphémisme. A cette différence près que le "signalement" du comportement de la justice" oubli n'en était pas un.....


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