TOTAL de pages consultées POUR TOUT LE BLOG

jeudi 3 avril 2014

Le fainéant directeur Patrick Clabaut ne prépare jamais sa classe ; Témoignage d'une mère «Ma fille m'a dit qu'ils n'avaient fait que dessiner toute la journée parce qu'il était fatigué et qu'il avait mal au dos»

Ce sinistre personnage, Patrick Clabaut, directeur de l'école Valmy 1 au Havre, a une particularité étrange. Non pas son absence totale de préparation de sa classe. Non, de cette particularité, il s'en vante à tous les coins de rue. Il peut se permettre de la faire ! C'est son ami et complice Patrick Deplanque son protecteur !
Comme larrons en foire !

Parole d'enfants sur le fainéant Clabaut :
 « IL TRAÎNE DANS LES COULOIRS »

Et les enfants rapportent régulièrement à leurs parents que le jeudi, ils n'ont rien fait de sérieux. Une enfant disant même sur ce directeur glandeur : « Les autres jours, il traîne dans les couloirs »
Pour ces enfants de CE1, absence totale de travail sérieux le jeudi, jour du directeur d'école fainéant et glandeur.
Contrairement aux autres jours de la semaine avec leur courageuse maîtresse Julie Amadis (celle que le réseau OMERTA76 vient de suspendre)
Cette enseignante dévouée se verra même reprocher par l'IEN faussaire OMERTA76 Olivier Basely, dans son rapport d'inspection truqué, l'absence de certains affichages.

L'Havrais Vérité: En mission commandée au Havre pour protéger les enseignants agresseurs d'enfants, l'IEN Olivier Basely de Saint Valéry-en-Caux commet des faux en écritures, ment, truque les déclarations. Une inspection mensongère contre Julie Amadis. En service commandé pour le réseau OMERTA.

L'IEN Olivier Basely a rédigé un rapport truffé de mensonges et de faux contre Julie Amadis.En oubliant que ses empreintes digitales se trouvent sur les fiches de préparation qu'il prétend ne pas avoir vues !
Le faussaire Basely accuse Julie Amadis de l'absence des affichages obligatoire en classe.... des affichages. que le fainéant titulaire Clabaut a « oublié » de mettre....
Un fainéant qui laisse accuser sa subordonné de ses « oublis » et incompétences.

UN FAINÉANT QUI..... MENACE 
SES PARENTS ÉLÈVES DÉLÉGUÉS

Non, ce sinistre individu a une autre particulière ; il menace les parents d'élèves.
Ce directeur de l'école élémentaire Valmy se sent tellement protégé par son ami de longue date l'inspecteur Patrick Deplanque OMERTA76 qu'il se croit autorisé à menacer les parents.
Quant au motif de ses menaces, elles sont encore plus étranges :

LE DIRECTEUR PATRICK CLABAUT
 INTERDIT  AUX PARENTS DE SOUTENIR
LA TÉMOIN D'AGRESSIONS D'ENFANTS

Non seulement il passe ses journées à glander – il paraît qu'il estresponsable informatique – (la bonne farce pour une écoletotalement dépourvue de site de productions d'élèves) mais, dans le temps qui lui reste, il concocte diverses recettes de harcèlement professionnel contre celle qui a brisé l'OMERTA76 de l'IA Carrière. Et pour le reste de sa journée de glandeur, il fabrique mentalement diverses recettes de harcèlement contre ses délégués de parents.

EN CONSEIL D’ÉCOLE, IL A INTERDIT DE PARLER
DE VIOLENCES A ENFANTS ET DE HARCÈLEMENT
 CONTRE CELLE QUI FUT TÉMOIN

Ce directeur a commencé à retirer son masque hypocrite quand 2 délégués de parents ont distribué un tract de soutien à Julie Amadis. Un tract dénonçant le harcèlement de l'IEN Deplanque et les agressions de 2008 contre Kévin 3 ans et Luciano 4 ans.

C'est logique : si l'inspecteur Patrick Deplanque assure l'impunité au fainéant Patrick Clabaut, en échange, le directeur Patrick Clabaut assure l'impunité au harceleur Patrick Deplanque.
Le tout sous la protection des inspecteurs d'Académie Serge Tillmann et Philippe Carrière !

EN SEINE-MARITIME, les MULTIPLES AGRESSIONS D'ENFANTS
 DANS LES ECOLES DOIVENT RESTER SECRÈTES,
LE RÉSEAU OMERTA76 VEILLE

Et sur l'école Valmy, pendant que l'inspecteur Patrick Deplanque (le protecteur des agresseuses de la maternelle Varlin) harcèle la témoin en construisant, mois après mois son deuxième licenciement de l’Éducation Nationale..... le directeur fainéant Patrick Clabaut construit une sorte de harcèlement « subtil »

DEPUIS DES MOIS, CONTACTS PHYSIQUES AVEC LA VICTIME ,
QU'IL TUTOIE ET APPELLE « MA BELLE »...
MAINS AUTOUR DE LA TAILLE.... 

Des procédés de harcèlement à caractère sexuel pour faire taire celle dont son complice Deplanque prépare le licenciement.
"La Cour d’appel de Bordeaux quant à elle, a pu préciser que « La jurisprudence ne limite pas la notion de faveurs sexuelles au coït proprement dit, mais l’étend aux simples contacts physiques imposés et aux propos à connotation sexuelle dont l’objet est de provoquer la victime afin d’obtenir des faveurs de nature sexuelle ou de l’injurier en raison du refus ». (Arrêt de la Cour d’appel de Bordeaux, 1er octobre 1997).
Les contours de la notion de harcèlement moralLe code du travail et le code pénal s’accordent pour reconnaître que constituent un harcèlement moral « des agissements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel »." (source)

IL EST ALLÉ JUSQU'A PARLER DE LA SANTE DE SA FAMILLE

 POUR MANIPULER LE CONSEIL D’ÉCOLE
ET EMPÊCHER QUE SOIT ÉVOQUÉE LA QUESTION

 DES VIOLENCES A ENFANTS
ET DE LA PROTECTION DES TÉMOINS


Ce sinistre personnage n'a aucune limite dans l'abjection.
On comprend qu'il ait évoqué une « lettre de la mairie » le vendredi 28 sans dire ce qui se préparait : la SCANDALEUSE SUSPENSION DE LA TÉMOIN. Il prétend ne rien avoir su de la suspension de Julie Amadis. Mais il reste encore des naïfs pour croire sur parole un tel glandeur harceleur.


Il va bien avec son collège qui proclamait hier son droit au "coup de pied au cul salvateur"



mercredi 2 avril 2014

OMERTA76; Le directeur de l'école Raspail Claude Auger revendique son droit d'utiliser la violence contre les enfants de l'école Raspail


ENCORE UN QU'IL VA FALLOIR DÉGAGER

Les parents du quartier Danton sont prévenus ; si le directeur de l'école frappe leur enfant, c'est pour on bien.

"UN COUP DE PIED AU CUL CA PEUT ETRE SALVATEUR" 
vient de dire Claude Auger directeur de l'école Raspail
devant l'Hôtel de Ville le 2 mars 2014

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire