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lundi 9 septembre 2013

L'ex-maire Antoine Rufenacht avait étouffé le scandale des violences à enfants de l'école maternelle Varlin

L'ex-maire du Havre avait promis de convoquer la témoin. Il ne le fit jamais.
Avoir les preuves des coups portés par l'ATSEM revenait à prouver que la directrice Combret de l'école Varlin mentait, que l'inspecteur Deplanque avait menti, que la principale Hervieu du collège Varlin mentait pour enfoncer Julie Amadis - en lui pourrissant son activité professionnelle (refus de donner du travail puis nomination sur la pire classe de l'école.... où la titulaire finit par prendre un coup de compas) .... que l'inspecteur d'Académie avait couvert des violences à enfants et que le Recteur, informé par courrier de Julie Amadis, avait fait la sourde oreille pour ne pas déranger tous ces réseaux de brutes et leurs complices !

Aucune des coupables de violences ni leurs complices omerta
 ne furent l'objet de poursuites judiciaires !

Antoine Rufenacht ne convoqua jamais Julie Amadis et celle-ci perdit son emploi.
Elle mis trois ans pour revenir, par concours, dans l'Education Nationale.
Bien décidée à agir de la même façon devant de nouvelles violences commises en sa présence.
Mais tous ces voyous agissent actuellement contre elle en laissant les illégalités délirantes du réseau Bourry permettre de lui voler la totalité de son salaire de juillet.
Le prétexte Bourry pour la vengeance Varlin !
La révolution mettra bon ordre à toute cette pourriture sociale !


UN ARTICLE DE MONSYTE

violence contre les enfants : Nous avons discuté avec Antoine Rufenacht sur un trottoir de l'avenue René Coty.

Julie Amadis et moi sortions du bureau de la responsable de la PEEP-Le Havre, Christiane Marais, lorsque face à nous s'apprête à traverser l'avenue René Coty, le maire de la ville Antoine Rufenacht.
Militant UMP RPR UDR UD 5°, il fut de toutes les aventures du gaullisme.

Nonobstant la frontière de classe qui nous sépare (le fossé), je me dirige vers lui au moment-même où il met le pied sur le passage pour piéton.
Il se retourne aimablement, fait demi-tour et m'écoute :
"Monsieur le maire, pouvons nous faire front commun sur UNE chose : on ne tape pas sur les petits de trois ans."

Il fut aimable, à l'écoute, attentif.

Nous lui avons rapporté la fessée contre le petit Kévin, trois ans, dont fut témoin Julie Amadis et la revendication de la directrice de la maternelle, Véronique Combret d'"en avoir fait autant" "avec Luciano", sans "avoir culpabilisé".
Il écouta.
Certes, il finit par donner raison à José Laboureur : ce ne fut pas surprenant, le ministre Darcos en a fait tout autant.
Mais tout en lui affirmant, que pour ma part j'avais soutenu le fils du gendarme et son père, pour éviter une polémique inutile, je lui ai rappelé qu'il s'agissait dans ce cas de petits de trois et quatre ans.
Julie Amadis réitéra son témoignage (elle avait déjà fait le signalement auprès du secrétaire de l'adjointe chargée de l'enseignement Dufour.)**

Lorsque, après près de 10 minutes d'échange, il tenta de conclure en renvoyant l'affaire en charge des services de l'Education Nationale, nous lui avons signalé que cela faisait plusieurs mois que ces faits délictueux s'étaient produits et que l'enquête n'a toujours pas eu lieu*.
Je lui ai fait remarqué que l'ATSEM qui était à l'origine de l'affaire en donnant une fessée au petit Kevin était employée, elle, employée municipale.

Il promit donc de se renseigner.
Nous nous saluâmes tous trois et reprîmes nos chemins.

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Va-t-on enfin trouver quelqu'un du camp d'en face, du camp du capitalisme, pour comprendre que faire du combat pour l'éradication de la violence n'est pas - EN TANT QUE COMBAT POLITIQUE - notre priorité, mais que, face au mensonge, à la calomnie dont se sont rendues coupables les deux brutes qui ont tapé et celle qui les protège, nous n'avons pas d'autre choix que d'élargir de plus en plus la surface de la médiatisation télématique en faisant connaître les positions que chacun prend dans cette affaire.
Des membres de classes exploiteuses devraient enfin reprendre leurs esprits et se décider à faire cesser la violence contre les petits de trois ans AVANT la révolution.


*L'inspecteur d'Académie en résidence au Havre avait dit, le 19 mars 2008, à une délégation syndicale qu'il convoquerait Julie Amadis : il ne l'a jamais convoquée.
De plus, menacée d'une interruption de son salaire, elle avait eu au téléphone le responsable des affaires juridiques du rectorat de Rouen le 27 mars.(sur le double conseil de madame Marais de la PEEP du Havre et de la responsable du SNES de Rouen.)


**Julie me signale qu'elle a envoyé - de surcroît - un mail à la chef du service de coordination et gestion du personnel, de la mairie du Havre, madame Martinet, le 19 mai 2008.
Cette madame Martinet a répondu le lendemain que le nécessaire avait été fait : [le détail sera donné par Julie Amadis dans sa chrono, en finalisation d'édition]

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